Faute de pouvoir accéder facilement aux causes et aux raisons profondes de nos fonctionnements et de nos comportements, la “théorie des parties” nous propose de les modéliser en définissant nos différentes “facettes” qui interagissent dans une situation, un problème, une compulsion… Métaphoriquement, chaque partie imaginée est décrite et ressentie de l’intérieur. C’est comme se permettre de mettre en lumière et donner la “parole” exclusive à une version précise de soi.
Par exemple, un fumeur pourrait identifier sa partie “Cool” qui réclame l’utilisation du tabac pour atténuer une certaine anxiété, et sa partie “Père de famille” qui le pousse à vouloir montrer le bon exemple à ses enfants. Ces deux facettes de sa personnalité génèrent un conflit interne, une dissonance qui peut engendrer encore plus d’anxiété (et donc de tabac), de la culpabilité ou tout autre malaise qui la pousse à consulter un accompagnant.
Cette approche est présente dans de nombreuses thérapies et tout particulièrement dans l’hypnothérapie. Elle est un outil puissant qui permet d’entrer en communication avec certains aspects de nos personnalités. Ainsi on peut leur demander leurs besoins, leurs revendications, peut-être même leurs raisons d’exister. Il est souvent très intéressant de se focaliser sur ce que l’on nomme “l’intention positive” de chacune des parties identifiées. En effet, derrière une compulsion il y a généralement un besoin auquel l’inconscient décide de répondre en maintenant un comportement dans le temps.
Pour être plus précis dans cette explication, soulignons le fait que cette théorie s’appuie sur le présupposé principal qu’un individu n’est pas un tout unifié et cohérent, mais le résultat de la collaboration plus ou moins efficace de nombreuses parties internes. Nous pouvons faire le parallèle avec le corps qui est constitué d’organes travaillant en coopération les uns avec les autres, mais ayant chacun ses fonctions et capacités complémentaires, ces parties sont à la fois différentes et interdépendantes.
C’est quand certaines parties poursuivent des buts différents ou qu’elles ont des besoins divergents que la personne perçoit un “problème”.
Faute de pouvoir accéder facilement aux causes et aux raisons profondes de nos fonctionnements et de nos comportements, la “théorie des parties” nous propose de les modéliser en définissant nos différentes “facettes” qui interagissent dans une situation, un problème, une compulsion… Métaphoriquement, chaque partie imaginée est décrite et ressentie de l’intérieur. C’est comme se permettre de mettre en lumière et donner la “parole” exclusive à une version précise de soi.
Par exemple, un fumeur pourrait identifier sa partie “Cool” qui réclame l’utilisation du tabac pour atténuer une certaine anxiété, et sa partie “Père de famille” qui le pousse à vouloir montrer le bon exemple à ses enfants. Ces deux facettes de sa personnalité génèrent un conflit interne, une dissonance qui peut engendrer encore plus d’anxiété (et donc de tabac), de la culpabilité ou tout autre malaise qui la pousse à consulter un accompagnant.
Cette approche est présente dans de nombreuses thérapies et tout particulièrement dans l’hypnothérapie. Elle est un outil puissant qui permet d’entrer en communication avec certains aspects de nos personnalités. Ainsi on peut leur demander leurs besoins, leurs revendications, peut-être même leurs raisons d’exister. Il est souvent très intéressant de se focaliser sur ce que l’on nomme “l’intention positive” de chacune des parties identifiées. En effet, derrière une compulsion il y a généralement un besoin auquel l’inconscient décide de répondre en maintenant un comportement dans le temps.
Pour être plus précis dans cette explication, soulignons le fait que cette théorie s’appuie sur le présupposé principal qu’un individu n’est pas un tout unifié et cohérent, mais le résultat de la collaboration plus ou moins efficace de nombreuses parties internes. Nous pouvons faire le parallèle avec le corps qui est constitué d’organes travaillant en coopération les uns avec les autres, mais ayant chacun ses fonctions et capacités complémentaires, ces parties sont à la fois différentes et interdépendantes.
C’est quand certaines parties poursuivent des buts différents ou qu’elles ont des besoins divergents que la personne perçoit un “problème”.
Rôle du praticien en Hypnose (ou du Coach)
Le premier travail consiste à aider la personne à identifier les parties d’elle-même (au moins deux) qui jouent un rôle dans son problème. Puis, en respectant l’existence de ces dernières, une négociation peut être effectuée afin qu’un terrain d’entente intérieur puisse être trouvé, souvent à un niveau inconscient.
Cette démarche se fait sous hypnose car cet état offre les conditions nécessaires à ce genre de protocoles.
L’appel à une partie “Créative” peut être utilisé pour dynamiser la mise en place des solutions.
Exercice d’identification de parties (sans hypnose)
Exercice de négociation de ces parties identifiées (avec hypnose)